Listes d'études démontrant l'éfficacité de prendre des suppléments

De très nombreuses études ont montrés et démontrées que l'augmentation de consommation de vitamines, minéraux et autres éléments essentiels favorisaient grandement la vie de la majorité des personnes et reduisait de façon significatives voire très significatives dans certains cas les risques de cancers, maladies cardio-vasculaires et autres maladies dégénératrices.
Certaines études ont testé l'augmentation de produits alimentaires seulement alors que dans beaucoup de cas, il a été fait appel à de la supplémentation.
Vous trouverez ici une liste d'étude avec les références si besoins. Cette liste est loin d'être exhaustive, afin de convaincre les sceptiques, je me suis engagé à faire une liste des études tant positives que négatives concernant la prise de compléments alimentaires.
Il faut faire attention aux articles qui dénoncent l'utilisation de compléments, cela s'applique en général sur aucune étude et le plus souvent le lobby pharmaceutique avec son énorme pouvoir est en arrière. Faire de la médecine préventive ne plait pas à tout le monde et les plus gros perdant risque d'être les compagnies pharmaceutiques qui assurent leur prospérité avec un nombres de clients de plus en plus nombreux avec le développement croissant des maladies dégénératrices, cancer, maladies cardiovasculaire, arthrose, ...

L’Université d’Harvard a récemment sorti un rapport sur la prévention du cancer du côlon. Le plus important est l’exercice et l’acide folique contenant des suppléments multi-vitaminés. L’Université d’Harvard a conduit une étude longitudinale auprès de +/- 100 000 infirmières sur 20 ans. Leur recherche a démontré l’impact d’une supplémentation en acide folique qui réduit les risques de cancer du côlon de 75-80 %

le département de nutrition du centre médical John Hopkins a affirmé récemment: "Sur base d’études sur des personnes prenant un supplément, la vitamine E semble réduire le risque de certains cancers de 60 à 70 %. Il a été constaté que de hauts niveaux de vitamine E diminuent également la quantité de graisse (lipides) dans les artères, et réduisent le risque de maladie cardiaque de 80 à 90 %"

Larry Clark de l’Université de l’Arizona a découvert, lors d’une étude, qu’un complément quotidien de sélénium diminue de moitié le risque de décès causés par un cancer, diminuant dans le même temps de 46 à 63 % l’incidence de cancers des poumons, de la prostate et du cancer colorectal.

D'après une étude du Dr G. Oakley du Centre de Contrôle des Maladies, les personnes qui prennent un complément de multivitamines avec 400 mcg d'acide folique sont en meilleure santé, de même que leurs enfants. NEJM, Avril 1998.

L’étude SU.VI.MAX dans laquelle plus de 13 000 personnes ont été supplémentées pendant huit ans par un apport en vitamines et minéraux antioxydants ( beta-carotène 6 mg, vitamine E 30 mg, vitamine C 120 mg, zinc 20 mg et sélénium 100 µg). Ce complément alimentaire en molécules anti-oxydantes a permis de diminuer de 31 % le risque de cancer chez l’homme.

Hercberg S, Galan P, Preziosi P, Bertrais S, Mennen L, Malvy D, Roussel AM, Favier A, Briancon S. The SU.VI.MAX study : a randomized, placebo-controlled trial of the health effects of antioxidant vitamins and minerals. Archives of Internal Medicine. 2004.

La supplémentation régulière en vitamine E pourrait probablement sauver littéralement des millions de vies. Le New England Journal of Medicine a publié deux études dans son numéro du 20 mai 1993 ; elles demontrent que les personnes qui consomment des compléments de vitamine E jouissent d'une réduction des maladies cardiovasculaires de 40%. Presque 40 000 hommes et 87 000 femmes ont participé à ces études. Plus la quantité de vitamine E était grande et la période de consommation étendue, moins ils souffraient de maladies cardiovasculaires.

En 1996, une étude contrôlée en double aveugle de 2 002 patients souffrant d'occlusions aux artères a démontré une diminution de 77% du risque de crise cardiaque chez les personnes consommant de 400 a 800 U.I. de vitamine E. (Stephens, N.G. et al. « Randomized controlled tria! of vitamin E in patients with coronary artery disease: Cambridge Heart Antioxidant Study (CHAOS) », The Lancet, 347, 23 mars 1996, p. 781 à 786.)

Afin d'illustrer L'extraordinaire importance des compléments pour les personnes dont Ie régime alimentaire est inadéquat, considérez ceci : les enfants qui mangent des hots dogs une fois par semaine doublent leurs chances de développer une tumeur au cerveau. Les enfants qui mangent plus de 12 hots dogs par mois (a peine 3 par semaine) ont dix fois plus de chances d'être atteints de leucémie que ceux qui n'en mangent aucun. (Peters J.M., S. Preston-Martin, SJ. London, J.D. Bowman, J.D. Buckley et D.C. Thomas. « Processed meats and risk of childhood leukemia », Cancer Causes Control, 5(2), mars 1994, p. 195 a 202.) Par contre, il a été démontré que les enfants qui mangent des hots dogs et qui prennent des compléments vitaminiques ont un risque de cancer réduit. (Sarasua S., D.A. Savitz. « Cured and broiled meat consumption in relation to childhood cancer », Cancer Causes Control, 5(2), mars 1994, p. 141 a 148.)

TORONTO - (7 avril 2004) - Selon une étude publiée aujourd'hui dans la revue Optometry - Journal of the American Optometric Association, la supplémentation en lutéine pourrait contribuer à améliorer la vision des personnes atteintes de la forme "sèche" de dégénérescence maculaire liée à l'âge - la forme la plus courante de cette maladie. L'étude LAST (Lutein Antioxidant Supplementation Trial) est la première à mettre en évidence une amélioration réelle de plusieurs fonctions visuelles essentielles chez des patients atteints d'une dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA).

La DMLA peut faire perdre aux seniors leur autonomie en rendant les activités quotidiennes comme lire, conduire ou voir ses proches, difficiles, voire impossibles. On estime à 6 millions le nombre d'Américains qui présentent une perte de la vision en raison d'une dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) et à 30 millions le nombre de personnes atteintes de DMLA dans le monde. Le nombre de personnes affectées par cette maladie incurable devrait doubler d'ici 2030.

L'étiologie de la DMLA n'est pas précisément connue, mais il existe des facteurs de risque : l'âge, les yeux bleus et la peau/les cheveux clairs, les régimes riches en graisses et le tabagisme. Les symptômes des personnes atteintes de DMLA à un stade avancé sont les suivants :

• les lignes droites dans le champ visuel, comme les poteaux téléphoniques, apparaissent ondulées ;
• les caractères des livres, des magazines et des journaux apparaissent brouillés ;
• des zones noires ou vides peuvent gêner la vision centrale.

La lutéine est une molécule naturelle présente dans les légumes verts feuillus tels que les épinards, le chou frisé ou le chou cavalier. Dans l'étude LAST, 90 patients atteints de DMLA ont reçu un complément quotidien, soit une gélule contenant 10 mg de lutéine cristalline FloraGLO, soit un complément OcuPower de 10 mg de lutéine cristalline plus un mélange d'antioxydants, soit un placebo, pendant 12 mois.
Les patients ayant reçu les suppléments de lutéine ont présenté des améliorations de plusieurs symptômes, notamment la récupération après éblouissement, la sensibilité au contraste et l'acuité visuelle, par rapport aux patients prenant le placebo. Des dizaines de marques de compléments à base de lutéine sont commercialisées en Amérique du Nord.

L'étude publiée dans la revue Optometry est la première du genre
CHICAGO, Illinois - (07 avril 2004) - La lutéine, complément alimentaire antioxydant, pourrait être efficace en termes d'amélioration des symptômes de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA), principale cause de perte de la vision chez les sujets âgés américains. L'étude LAST (Lutein Antioxidant Supplementation Trial) est le premier essai qui démontre une réelle amélioration de plusieurs fonctions visuelles essentielles chez des patients atteints de DMLA. Les données sont publiées cette semaine dans la revue Optometry - The Journal of the American Optometric Association.

La DMLA est la première cause de cécité légale des sujets de plus de 55 ans en Europe et aux Etats-Unis Un Américain sur huit âgé de plus de 60 ans souffre de cette maladie incurable.
Environ 30 millions de personnes dans le monde ( 1,3 millions en France ) souffrent d'une forme de DMLA.

L'etude AREDS (Age Related Eye Disease Study) conduite par le National Eye Institute, a démontré que la supplémentation en vitamine C, vitamine E, bêta-carotène, zinc (associés dans un seul comprimé) a des effets bénéfiques. Cette étude a mis en évidence une réduction de 25 % de la progression de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) sur 5 ans".

Le National Institutes of Health, à Bethesda, USA, a lancé cette étude d'apport massif d'antioxydants (vitamines C et E, bêta-carotène) et de zinc, dans le but de diminuer le risque ou la progression de la DMLA. Les apports utilisés sont bien supérieurs aux Apports Journaliers Recommandés (AJR).
Les posologies conseillées sont les suivantes:

• La dose de Vitamine C est de 500 mg par jour, soit 5 fois supérieure à celle apportée par l'alimentation.
• La dose de Vitamine E est de 400 UI par jour, soit 13 fois supérieure à celle de l'AJR.
• La dose de Zinc (sous sa forme d'oxyde de zinc) est de 80mg par jour, soit 5 fois supérieure à celle de l'AJR.
• La dose de bêta-carotène est de 15mg, mais comme il peut favorise les cancers du poumons chez les sujets fumeurs, il leur est déconseillé d'en prendre.

Age-Related Eye Disease Study Research Group. A randomized, placebo-controlled, clinical trial of high-dose supplementation with vitamins C and E, beta carotene, and zinc for age-related macular degeneration and vision loss: AREDS report no. 8 Arch Ophthalmol 2001 Oct;119(10):1417-36 Arch Ophthalmol. 2001 Oct;119(10):1533-4. Arch Ophthalmol. 2002 Jan;120(1):100-1. Arch Ophthalmol. 2002 Jul;120(7):997; discussion 997-9. Arch Ophthalmol. 2002 Nov;120(11):1602. J Fam Pract. 2002 Feb;51(2):105.

Taylor HR, Tikellis G, Robman LD, McCarty CA, McNeil JJ. Vitamin E supplementation and macular degeneration: randomised controlled trial. BMJ. 2002 Jul 6;325(7354):11.

Evans JR. Antioxidant vitamin and mineral supplements for age-related macular degeneration. Cochrane Database Syst Rev. 2002;(2):CD000254.

Première cause de cécité légale des sujets de plus de 55 ans en Europe et aux Etats-Unis, la DMLA toucherait environ 1,2 millions de personnes en France. Les résultats de vastes études médicales recherchant des facteurs de risque ou des facteurs protecteurs aboutissent régulièrement. Bien qu’initiées par la DMLA, ces découvertes bénéficient également aux personnes atteintes de dégénérescence rétinienne comme les rétinopathies pigmentaires dont quelques formes ont des gènes communs avec la DMLA. Certaines de ces avancées relevant plus du comportement individuel que de la prise en charge médicale peuvent égarer le patient dans la compréhension de sa maladie et sa conduite à tenir pour conserver le maximum de vision.

Grâce aux compléments alimentaires à l’efficacité aujourd’hui médicalement reconnue, l’adaptation du régime nutritionnel peut se faire simplement car ces produits, qui rappelons le ne sont pas des médicaments, sont délivrés sans ordonnance. Ils relèvent beaucoup plus d’un choix alimentaire personnel que du suivi d’un traitement médical et peuvent être consommés librement sans risque d’ interaction avec des médicaments.

Lire le dossier au complet qui ennumère les bienfaits d'une saine alimentation et la consommation de suppléments.

En 1993, le professeur E. Berson et ses collaborateurs ont publié, dans le cadre d'une étude d'une durée de 6 ans, un rapport selon lequel une dose quotidienne de 15'000 unités de vitamine A palmitate ralentit l'évolution de la rétinite pigmentaire de formes courantes. Les résultats de cette étude de grande envergure, réalisée en double aveugle avec 601 patients sélectionnés au hasard, furent à l'époque bien accueillis dans l'ensemble.

Les objections portaient notamment sur la relative insignifiance de l'amélioration dans l'électrorétinogramme des cônes ainsi que sur les trop peu nettes améliorations du champ visuel, si l'on considérait dans sa totalité le groupe de patients traités. Des résultats d'études approfondies réalisées par la suite confortent toutefois dans la conviction que l'ingestion de vitamine A palmitate peut être recommandée aux personnes affectées de dégénérescences rétiniennes héréditaires.

Standberg et ses collaborateurs (1996) ont procédé à d’autres examens et présenté des résultats, desquels il ressort que l’effet positif du traitement à la vitamine A non seulement est visible sur l’électrorétinogramme mais qu’il a par ailleurs exercé un effet favorable sur l’évolution de la dégradation du champ visuel de 125 des patients qui composaient le groupe original soumis à l’étude.
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Les deux caroténoïdes lutéine et zéaxanthine ont été identifiés comme pigment dans la rétine, enrichi dans la macula lutea (tâche jaune). Ces derniers temps, ils captent de plus en plus d’intérêt car il se pourrait qu’ils aient un effet protecteur contre certaines formes de dégénérescences rétiniennes, en particulier contre la DMLA.

L’effet protecteur de la lutéine et de la zéaxanthine dans la rétine peut se produire de 2 manières : soit les deux substances lient des radicaux libres et, ce faisant réduisent le stress oxydant (effet d’antioxydants), soit elles absorbent des longueurs d’ondes riches en énergie dans la gamme bleue du spectre, empêchant ce faisant des dommages photochimiques.

La lutéine et la zéaxanthine se produisent dans la rétine sous diverses sous-formes optiques et géométriques, dont la présence dans le sérum ne peut être prouvée dans cette composition. Cela met en évidence l’étroite relation de ces deux substances avec des processus d’oxydation et des processus photochimiques qui se produisent dans la rétine et qui sont vraisemblablement induits par la lumière.

La lutéine ne peut être produite par le corps et doit donc être amené dans l’organisme en permanence. On trouve dans la littérature l’hypothèse selon laquelle la lutéine pourrait se transformer partiellement en zéaxanthine dans le sérum. On n’a toutefois pas élucidé jusqu’à présent si toutes les sous-formes importantes pouvaient se former de cette façon. En l’occurrence, l’importance dans la rétine de la méso-zéaxanthine, notamment, n’est pas encore claire à ce jour. De grandes quantités de lutéine sont présentes dans les légumes à feuilles vert foncé, la zéaxanthine est surtout présente dans le maïs.
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La deuxième partie de la décennie (2000) pourrait bien être caractérisée par des progrès en termes de prévention de la maladie et notamment par la diététique. En effet, l’étude AREDS a ouvert la voie d’une prévention secondaire des complications de la dégénérescence maculaire liée à l'âge (DMLA) avec l’utilisation d’un cocktail comportant des vitamines et des minéraux (Vitamine C, ß-carotène, Vitamine E, Zinc, Cuivre) protégeant la rétine du stress oxydatif.
Ce mélange a montré une efficacité pour limiter le passage des formes débutantes de la maladie vers des formes plus évoluées. D’autres études encore plus récentes concernent le rôle des lipides et en particulier de certains acides gras polyinsaturés de la famille des omégas 3. Une supplémentation nutritionnelle avec de tels acides gras (DHA ou docosahexéanoïque, EPA ou eiccosapentaenoïque) pourrait même constituer une prévention primaire, avant l’installation des lésions précoces de la DMLA.

A randomized, placebo-controlled, clinical trial of high-dose supplementation with vitamins C and E, beta carotene, and zinc for age-related macular degeneration and vision loss: AREDS report no. 8. Arch Ophthalmol 2001;119(10):1417-36.
Seddon JM, Rosner B, Sperduto RD, Yannuzzi L, Haller JA, Blair NP, et al. Dietary fat and risk for advanced age-related macular degeneration. Arch Ophthalmol 2001;119(8):1191-9.

Neuringer M. Infant vision and retinal function in studies of dietary long-chain polyunsaturated fatty acids: methods, results, and implications. Am J Clin Nutr 2000;71 (1 Suppl):256-67.

10. Jeffrey BG, Mitchell DC, Gibson RA, Neuringer M. n-3 fatty acid deficiency alters recovery of the rod photoresponse in rhesus monkeys. Invest Ophthalmol Vis Sci 2002;43(8):2806-14.

11. Jeffrey BG, Weisinger HS, Neuringer M, Mitchell DC. The role of docosahexaenoic acid in retinal function. Lipids 2001;36(9):859-71.

En prenant un supplément vitaminique renfermant notamment de l'acide folique avant et durant la grossesse, les femmes réduiraient le risque de donner naissance à un enfant souffrant de divers types de malformations congénitales. C'est ce qu'indiquent les résultats d'une méta-analyse1 réalisée au Canada.

Les chercheurs de l'Hospital for Sick Children de Toronto viennent de communiquer ces résultats dans une publication scientifique de la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada. Ils soulignent que l'analyse de 41 études épidémiologiques démontre que les suppléments multivitaminiques protégeraient non seulement contre la malformation du tube neural, ce qui était déjà démontré, mais également contre les anomalies du système cardiovasculaire et des membres, la fente palatine, la fente orale, l'hydrocéphalie congénitale et les anomalies du tractus urinaire.
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Des scientifiques de l'université John-Hopkins ont regardé les effets de la vitamine E et de l'acide alpha-lipoïque.
L'étude a été réaliséE sur des ouris ayant une forme de rétinite pigmentaire.
Les chercheurs ont constaté une amélioration de 40 % chez les sujets ayant reçu de la vitamine E ou de l'acide alpha-lipoïque.